SHAM (La saga):
« Ensemble infini de mondes idéaux, la Maison – dite aussi le Multivers ou l’Insondable – possède trois Principes piliers en contrôlant les entrées : bienveillance, communication et détermination. Qui ne les possède au fond de soi ne peut prétendre y vivre et jamais ne la verra. Traversant ces univers, Sham est pourtant de nature bornée, sarcastique et égoïste. Son amnésie ne semble qu’un prétexte à son exploration constante et sa présence même est un paradoxe en ces lieux. Lors d’une rencontre fortuite avec un être qu’elle reconnaît immédiatement, son histoire bascule, tout comme son attitude… Jusqu’au cauchemar. Jusqu’à la folie. »
SHAM – Vol. 1:
Qui donc est cette personne qui manipule son corps et son esprit – et
semblerait-il autrui ! – à chaque fois qu’elle perd connaissance ?
“« Incapable, bonne à rien ! Pourquoi n’as-tu pas poursuivi ta quête du
Cœur, en gentille poupée ? »”
SHAM – Vol. 2:
“Le néant marche dans ses pas, mais elle est Celle Qui Sait Sans Savoir. Il le lui a dit, il l’a prévenue : rien ne sera plus jamais comme avant, c’est pour quoi elle ne doit plus se perdre. Poursuivie par les pires cauchemars des habitants de la Maison, fuyant sans un repos les univers envahis par le mal planétaire, blessée, terrorisée, le désespoir amenuisant son courage, Sham craint ne pas être innocente dans ce qui arrive. Des alliés inattendus, soulevés contre “la grande malheureuse”, n’accélèrent-ils pas l’effondrement ? Il lui faut savoir. À tout prix, avant de ne plus pouvoir avancer. « C’est à cause d’elle, à cause d’elle, oui, à cause d’ELLE ! Fais donc fondre tout cela ! Qu’elle disparaisse à jamais… »”
SHAM – Vol. 3:
Depuis le tunnel, il est évident que rien ne va. Mais ce n’est que le commencement de la fin. Entre ennemis mortels, doutes, rencontres inopinées et crises de nerf, la jeune femme tâche de garder l’esprit sain. Cela devient de plus en plus difficile. Surtout lorsqu’on la chasse à travers toute la Maison, que le sort qui attend les Mondes, Pièces et Entre-Pièces touchées est pire que la blessure elle-même et que son compagnon de route devient prédateur malgré lui. L’avalanche de situations terrifiantes manquera l’engloutir, la précipitant sans un repos vers une fin implosive.